Assurer son chien est une décision importante pour les propriétaires. Cet animal de compagnie étant un bien rattaché à un individu (son propriétaire), il constitue donc un bien pour ce dernier. Et puisque tout bien peut bénéficier d’une assurance, il va de soi qu’on peut assurer son chien. Ceci dit, il est important de faire preuve de vigilance au moment où l’on décide de faire. Cet article fait état dans sa suite des pièges à éviter pour assurer son chien.

Les pièges à éviter en optant pour une mutuelle pour chien

Comme premier critère de pièges à éviter nous avons les primes d’assurance. En effet, au moment d’opter pour une mutuelle, il est nécessaire de suivre de très près le mode de fonctionnement des primes d’assurance imposées par l’assureur. Celles-ci varient et en tendance à augmenter au fil des années, et certains assureurs imposent des primes aux montants assez élevés quand il s’agit d’assurer un chien senior. L’âge et la race sont donc des facteurs à ne pas du tout négliger dans ce domaine.

Un autre élément à prendre en compte reste, bien entendu celui des modalités de remboursement. La plupart du temps, elles diffèrent d’une agence à une autre. Il incombe de se renseigner sur les frais d’ouverture du dossier, les cotisations et frais annexes pouvant survenir, ainsi que les taux de remboursements et leurs délais.

D’autres éléments à prendre en compte pour souscrire à une mutuelle pour chien

Si les modalités de remboursement ainsi que les primes d’assurance constituent des éléments clé, entrant en ligne de compte dans la souscription à une mutuelle pour son compagnon à quatre pattes, le délai de carence quant à lui est aussi à noter. En effet, ce délai revêt une importance majeure en matière de souscription à une assurance pour chien, assurances-chiens.fr explique bien sur sont l’importance de ce point. C’est l’intervalle compris entre le début des effets concernés, et le moment ou le chien commence à bénéficier de la garantie qui y est allouée. Le délai de carence permet aux assureurs, de vérifier si un chien inscrit à une mutuelle, était au préalable porteur d’une maladie, peu avant d’y être inscrit.

Un autre élément à considérer reste le fait que les assureurs se basent sur une limite d’âge minimal (2 ans) et d’âge maximum (10 ans), pour autoriser ou non un chien à jouir d’une assurance. En plus de cela, le chien doit être identifié par puce électronique ou par tatouage, tout en ayant à jour la liste de ses vaccins. Enfin, le dernier point à souligner est celui des conditions de résiliation qui peuvent s’avérer compliquer en fonction de l’état de santé du chien (maladie grave ou chronique).